Sun Life | Des régimes de garanties collectives inclusifs

16 septembre 2024

Investir dans la sécurité financière de ses employés: 5 faits à savoir

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Les taux d’intérêt hypothécaires élevés et la hausse de l’inflation ont affecté nos finances au cours des derniers mois. La situation économique actuelle complique la planification de la retraite. Un employeur qui offre un régime de retraite investit dans la sécurité financière de ses employés. Que faut-il savoir pour en exploiter pleinement sa valeur ?

1 • Prestations déterminées ou cotisations déterminées ?

La majorité des travailleurs du secteur public ont le privilège de pouvoir compter sur un régime de retraite à prestations déterminées. Est-ce le type de régime à favoriser ? Les prestations provenant d’un régime à cotisations déterminées dépendront des montants investis et des rendements. À long terme, plusieurs travailleurs réussissent à accumuler des sommes importantes.

Comment ça fonctionne ? Le revenu d’un participant provient de ses propres cotisations, des cotisations complémentaires de son employeur et du rendement de ses placements. Contrairement à ce qui se passe avec un régime de retraite à prestations déterminées, le revenu de retraite qui sera versé n’est pas fixé à l’avance. Il dépendra des sommes accumulées au moment du départ à la retraite.

2 • Offrir une cotisation complémentaire : un effet d’attraction de la main-d’œuvre

Au Canada, le taux de cotisation moyen des employeurs oscille autour de 4 à 5 % du salaire. Un employé qui gagne 100 000 $ pourrait ainsi recevoir de 4 000 à 5 000 $ de plus par année. En y ajoutant ses cotisations et les rendements composés, ça s’accumule vite ! Un complément de l’employeur augmente de beaucoup la valeur d’un régime aux yeux des travailleurs. Cela pourrait même vous permettre d’attirer de nouveaux talents.

Au Canada, le taux de cotisation moyen des employeurs oscille autour de 4 à 5 % du salaire.

3 • Trop de gens laissent de l’argent sur la table

Si 3 employeurs sur 4 offrent un complément de 100 % aux cotisations des employés, près du quart de ceux-ci ne profitent pas pleinement du complément patronal. Pour un employé, le fait de cotiser peu ou pas du tout au régime revient à laisser de l’argent sur la table.

4 • S’assurer d’un bon engagement des employés

Pour combattre l’inertie des employés et les inciter à épargner dans leur régime de retraite, c’est simple : communiquez de façon claire, facilitez le processus et fournissez des outils numériques pour les aider à passer à l’action.

5 • Cotiser devient plus facile

Un régime de retraite à cotisations déterminées est assorti de plusieurs autres avantages tels que des frais moins élevés et des déductions fiscales. Puisqu’en général, les cotisations sont retenues automatiquement sur la paie, c’est plus facile d’épargner.


13 février 2024

Les femmes détiennent de plus en plus de richesse financière. Selon la Sun Life, 40% de personnes interrogées dans cette étude se sentent peu à leur aise avec leur conseiller financier. Lire>


14 novembre 2023 Malgré les nombreux efforts déployés pour atteindre l’équité pour les femmes, force est d’admettre que l’écart persiste en matière de santé. Depuis trop longtemps, on refuse d’accorder à la santé des femmes l’attention qu’elle mérite, et celles-ci continuent d’en vivre les conséquences – y compris au travail. Heureusement, le statu quo tend à changer. Des employeurs emboîtent le pas et innovent afin de développer des solutions permettant d’améliorer le bien-être de leurs travailleuses.

Des régimes de garanties collectives inclusifs

Selon les plus récentes données de la Sun Life, un tiers (33 %) des femmes jugent leur régime de garanties collectives insuffisant pour couvrir l’entièreté de leurs besoins. Que ce soit en regard de la santé mentale, de la santé reproductive ou encore de la période de ménopause, les employeurs peuvent jouer un rôle clé pour contribuer à réduire l’écart en santé.

Les données le démontrent : la pandémie a eu un plus grand effet sur la santé mentale des femmes. Plus de 40 % des demandes d’invalidité de longue durée des femmes portent sur des problèmes liés aux troubles mentaux. En veillant à mettre en place une couverture adéquate pour les soins de santé mentale, il est possible de réduire les absences, de diminuer le taux d’invalidité et d’accélérer le rétablissement et le retour des employées.

Les employeurs peuvent jouer un rôle clé pour contribuer à réduire l’écart en santé.

Des politiques et des pratiques de soutien

La communication, la sensibilisation et les mesures de soutien en entreprise représentent maintes façons d’éliminer les préjugés, notamment ceux entourant la période de ménopause. Au Canada, on évalue qu’un quart de la main-d’œuvre pourrait être en pleine transition vers cette période charnière.

Malgré cette proportion importante, 4 femmes sur 10 disent se sentir seules pendant la ménopause et 54 % d’entre elles estiment que c’est un sujet tabou. À titre d’acteurs de changement, les employeurs sont en mesure d’aider à supprimer cette couche du plafond de verre en instaurant diverses tactiques internes : partage de ressources, groupes de soutien, conversations ouvertes entre les dirigeantes et les employés, etc. Au cours des prochaines années, les employeurs gagneront à s’inspirer des bonnes pratiques afin de compter sur une main-d’œuvre plus productive et en meilleure santé. Ces mesures représenteront sans aucun doute un avantage concurrentiel pour attirer et retenir les talents. Pour en savoir plus, consulter le Dossier de réflexion Travailler ensemble pour la santé des femmes, présenté par la Sun Life.

 
 
 
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